Dernière adaptation le 25/06/2020
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La FAQ en allemand est disponible ici
Pour toutes les questions générales concernant le coronavirus, nous vous conseillons de consulter le site www.info-coronavirus.be, sur lequel vous trouverez des informations fiables.
Nous répondons ci-après aux questions fréquemment posées à propos du coronavirus et du cancer. Votre question n’est pas abordée ou vous avez besoin d’informations plus détaillées ? Dans ce cas, contactez-nous via Cancerinfo au numéro gratuit le 0800/15.801 ou cancerinfo@cancer.be
VACINATION
Un patient cancéreux doit-il se faire vacciner contre la COVID-19 ?
Selon le type de cancer, par exemple un cancer du sang, et selon le traitement nécessaire, il est possible que le risque de développer une forme sévère du coronavirus soit plus important. Par ailleurs l’âge, le diabète et l’hypertension restent des facteurs de risque importants. Parallèlement aux mesures visant à éviter une contamination, la vaccination offre dès lors la meilleure protection.
De manière générale, la Fondation contre le Cancer recommande par conséquent aux personnes atteintes d’un cancer de se faire vacciner contre le coronavirus. Elles doivent cependant toujours consulter leur oncologue traitant, qui déterminera entre autres le moment le plus adéquat pour la vaccination.
Il existe quelques situations spécifiques :
Les patients cancéreux courent-ils un risque accru de développer une forme grave de la COVID-19 ?
Selon le type de cancer, par exemple un cancer du sang, et selon le traitement nécessaire, il est possible que le risque de développer une forme sévère du coronavirus soit plus important. Par ailleurs l’âge, le diabète et l’hypertension restent des facteurs de risque importants. Parallèlement aux mesures visant à éviter une contamination, la vaccination offre dès lors la meilleure protection.
Comment pouvez-vous savoir si vous êtes sur la liste des patients à haut risque ?
À partir du 6 avril 2021, les médecins généralistes et les spécialistes compléteront progressivement une liste de patients à haut risque. À partir du 8 avril 2021, vous pourrez vérifier par vous-même si vous figurez sur la liste. Pour ce faire, rendez-vous sur www.myhealthviewer.be. La liste sera également complétée après le 8 avril, alors vérifiez à nouveau plus tard si vous ne figurez pas sur la liste et discutez-en avec votre médecin généraliste ou votre médecin spécialiste.
Dans quelle mesure le vaccin est-il efficace et sûr chez les patients atteints de cancer ?
La vaccination est sûre et efficace. La Fondation contre le Cancer conseille à tout le monde de se faire vacciner, y compris les patients atteints de cancer (sauf s'il existe des raisons médicales de ne pas le faire).
De nombreuses informations erronées circulent sur Internet à propos des vaccins. On prétend que la vaccination peut provoquer l'infertilité. Il s'agit d'une information erronée, la vaccination ne provoque pas la stérilité et rassurez-vous, elle ne contient pas de micropuces !
Tous les vaccins ont fait l'objet de recherches approfondies et se sont révélés très sûrs et efficaces. Bien sûr, certaines personnes présentent des effets secondaires, mais la plupart d'entre eux sont légers et ne sont pas liés au risque de Covid-19 (par exemple, une journée de légère douleur au point d'injection, comme pour les autres vaccins).
Des réactions allergiques sont survenues chez un très petit nombre de personnes (moins de 1 sur 10 000). Il s'agit d'un type d'effet secondaire plus grave, qui survient généralement dans l'heure qui suit la vaccination. C'est pourquoi vous devez attendre un certain temps après la vaccination. Ce type de réaction doit être suivi.
En mars et avril, il a également été signalé que, dans des cas extrêmement rares, un caillot de sang pouvait se former après l’injection de certaines marques de vaccins. On ne sait toujours pas si ces caillots sanguins sont causés par la vaccination et ils sont en tout cas extrêmement rares (environ 4 cas par million de vaccinations, dont moins d'un sur un million a été fatal). Pour mettre ce chiffre en perspective : le risque de caillot sanguin si vous vous retrouvez à l'hôpital avec Covid-19 est d'environ 1 à 6 cas pour 10 patients. Vous trouverez ici des informations fiables spécifiquement sur ce sujet : https://www.cbip.be/fr/gows/3593
Pour la vaccination, comme pour tout autre traitement médical, nous devons comparer les risques et les bénéfices. Avec Covid-19 , et comme l’ont rappelé à de multiples reprises l’OMS et l’Agence Européenne du Médicament, les bénéfices de la vaccination sont sans commune mesure avec ses risques. Dans la population générale, la balance risque/ bénéfice varie en fonction de l’âge et du type de vaccin. Mais le risque de mourir de la Covid-19 est toujours nettement plus important (des centaines, voire des milliers de fois) que le risque de mourir suite à un effet secondaire de la vaccination. Et pour les personnes présentant des comorbidités (diabète, hypertension, âge,…) le risque de mortalité par Covid-19 est encore est encore plus élevé. Il n’y a donc pas photo !
Il n'y a aucune raison de croire que le vaccin est moins efficace chez les personnes atteintes d'un cancer. Toutefois, il est possible que les patients qui suivent un traitement immunosuppresseur, une chimiothérapie ou une radiothérapie développent une protection trop faible. Dans leur cas, il ne s'agit donc pas d'un problème d'effets secondaires, mais d'une réduction de l'efficacité du vaccin. Ils devraient donc également discuter de la question avec leur oncologue avant de commencer le processus de vaccination.
Les patients atteints de cancer sont-ils prioritaires pour la vaccination ?
Sur le site https://www.info-coronavirus.be/fr/ le gouvernement a élaboré un plan en trois phases, où l'on procède à une extension progressive de la vaccination à une population plus large. Tout le monde est en phase 3, sauf s'il a une raison d'être en phase 2 ou 1. En fait, les vaccinations les plus urgentes ont lieu dans les phases 1 et 2, qui sont les "groupes prioritaires". Il s'agit de ce que l'on appelle les "groupes prioritaires", et il peut s'agir de personnes appartenant au corps médical, de personnes d'un âge avancé ou de personnes présentant un problème de santé sous-jacent connu. Dans certains cas, le cancer est un "problème de santé sous-jacent connu". Regardez le tableau pour voir à quel groupe vous appartenez, et consultez également la FAQ "Comment savoir si vous êtes sur la liste des patients à risque ? ”.
Type de cancer |
Âge du patient |
Phase |
Cancer hématologique |
18-64 |
1 |
65+ |
2 (pas à cause des cancers, mais à cause de l'âge de 65 ans et plus) |
|
Cancer non hématologique récent*. |
18-44 |
3, sauf en phase 1 ou 2 pour une autre raison |
54-64 |
1 |
|
65+ |
2 (pas à cause des cancers, mais à cause de l'âge de 65 ans et plus) |
|
Cancer non hématologique non récent*. |
18-44 |
3, sauf en phase 1 ou 2 pour une autre raison |
45-64 |
3, sauf en phase 1 ou 2 pour une autre raison |
|
65+ |
2 (pas à cause des cancers, mais à cause de l'âge de 65 ans et plus) |
Jusqu'à 5 ans après le diagnostic
Les patients peuvent faire partie d'un stade plus précoce s'ils présentent un autre facteur de risque. Cependant, toutes les raisons ne s'appliquent pas à tous les âges. Consultez votre médecin si l'une des situations suivantes s'applique à vous :
Plus d'informations sur : https://www.health.belgium.be/sites/default/files/uploads/fields/fpshealth_theme_file/20210205_hgr-9618_priorites_vaccination_covid-19_vweb_0_1.pdf
TABAC ET CORONA
Le tabagisme augmente-t-il le risque de contracter le coronavirus ou la COVID-19 ?
Trois raisons permettent de supposer que les fumeurs courent un plus grand risque de contracter le coronavirus :
PERSONNES AYANT UN CANCER
PERSONNES AYANT EU UN CANCER
ENFANTS
FAMILLE, AMIS, SOIGNANTS
FUTUR
UPDATE DEPISTAGES
Plus d’informations sur les mesures prises par la Flandre ici.
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Vous ne devez pas interrompre vos traitements de votre propre initiative et vous devez contacter votre médecin oncologue ou hématologue, ou votre médecin traitant et suivre leurs recommandations.Si nécessaire, votre médecin pourra adapter votre prise en charge pour éviter tout risque de contamination tout en maintenant un traitement efficace. Les rendez-vous à l’hôpital reprennent peu à peu, mais sous certaines conditions. Le port du masque est obligatoire et il est principe interdit d’être accompagné.
Si vous n’avez pas été recontacté pour une reprise du suivi et de votre traitement, prenez contact avec par l’équipe soignante pour évaluer ce qu’il y a lieu de faire dans votre cas.
Si vous n’avez pas les symptômes du COVID-19 ou si vous en avez guéri (selon un professionnel de santé), vous pouvez continuer vos traitements et soins en respectant les ajustements proposés par votre oncologue ou hématologue. Ils pourront si c’est nécessaire modifier les modalités de prise du traitement si cela est réalisable et opportun.
Si vous avez les symptômes du COVID-19, ou si ce diagnostic est confirmé (par un professionnel de santé), prévenez sans attendre l’équipe médicale qui vous suit pour le traitement du cancer. Et signalez au médecin qui a posé le diagnostic d’infection à COVID-19 que vous êtes suivi pour un cancer afin qu’il puisse entrer en contact avec votre oncologue ou hématologue.
La pratique d’une activité physique régulière peut avoir un impact bénéfique important chez un patient atteint de cancer, pendant comme après la maladie. Pour certains cancers, elle favorise ainsi la diminution de la fatigue, l’augmentation des capacités de récupération de l’organisme, et l’amélioration de la tolérance aux traitements (notamment post-opératoires et de radiothérapie). Elle contribue à une diminution des risques de récidive et de mortalité après traitement.
L’activité physique adaptée constitue l’un des « soins oncologiques de support » qui contribuent au maintien de l’état de santé général et à la prévention des séquelles après un cancer.
Il convient donc de ne pas interrompre la pratique régulière d’APA prescrite pendant et après la maladie, en veillant cependant à l’adapter aux circonstances actuelles et à respecter les consignes en vigueur concernant les déplacements à l’extérieur du domicile.
C’est la pratique collective d’une activité physique qui n’était pas permise pendant toute la durée de la période de confinement. Les établissements sportifs couverts ouvrent à partir du 8 juin dans le respect des règles sanitaires. Toutefois, il est préférable de demander l’avis du médecin qui vous suit avant de vous y rendre.. L’activité physique en petits groupes peut reprendre sous certaines conditions. Les risques de contamination sont moindres à l’extérieur mais il faut rester vigilants par rapport aux règles de protection. Veuillez consulter le site www.info-coronavirus.be
La pratique d’une activité physique à domicile, lorsqu’elle est possible, ne fait quant à elle l’objet d’aucune restriction liée au contexte actuel. Elle est vivement conseillée. Vous trouverez des conseils intéressants sur notre blog « gardons le moral ».
Le coronavirus affecte particulièrement les personnes affaiblies par une maladie chronique en général. Les personnes atteintes d'un cancer sont d'autant plus concernées que leurs défenses immunitaires peuvent être très affaiblies par les traitements du cancer et/ou certaines formes de cancers. Donc qu’il s’agisse d’un cancer lié ou non aux poumons ou au système respiratoire, respectez bien les mesures de sécurité.
Le risque sera plus important si votre cancer est à stade avancé, si vous êtes plus âgé, si vous avez d’autres antécédents médicaux, si vous fumez et … si vous êtes un homme. Dans ce cas, il vous faudra être d’autant plus prudent.
Il est vrai qu’il y a eu des inquiétudes par rapport à des traitements à base de cortisone (corticothérapie) au début de la pandémie. Cela portait sur les traitements dans les affections bénignes, notamment ORL. Le débat semble clos. . Et dans le cas du traitement contre le cancer, il ne s’agit pas d’un traitement de confort, et il vous est conseillé de respecter scrupuleusement les prescriptions de votre oncologue.
L'immunothérapie n'augmente pas votre immunité au coronavirus. Il est donc important que vous respectiez rigoureusement les mesures de prévention et de sécurité qui s'appliquent à tous.
En effet, une intervention chirurgicale fragilise l’organisme. Il est donc essentiel de bien respecter toutes les mesures de précautions, et même un peu plus scrupuleusement que d’autres…
Les personnes âgées sous traitement contre un cancer, plus encore que les plus jeunes, sont plus vulnérables. C’est en tout cas une conclusion logique qui a été tirée de plusieurs études.. Comme leur immunité est diminuée à cause de l’âge, de la maladie et de ses traitements, ils sont donc plus sensibles à la fois à une infection par le COVID-19 et à ses complications.
C’est la raison pour laquelle les proches doivent absolument redoubler de vigilance envers eux. Le lavage des mains approfondi est, encore plus qu’ailleurs, et le port du masque dès que l’on quitte la maison indispensables. Tant que le virus continue à circuler en Belgique, votre confinement si vous vivez sous le même toit est à respecter, ainsi que celui de la personne malade, évidemment. Et les contacts avec l’extérieur doivent vraiment être très limités ; s’ils sont indispensables, il faut alors bien veiller à ne pas se rendre dans les lieux trop fréquentés et à bien respecter les distances de sécurité.
Si vous êtes en traitement (y compris pour un cancer chronique) appliquez strictement les conseils de prudence et demandez à vos proches d’en faire autant (éviter / réduire au strict minimum les contacts, garder toujours une distance de sécurité d’au moins 1,50 m, d’observer un lavage des mains méticuleux…), demandez de l’aide pour les courses, faites-vous livrer... Si vous êtes en rémission, appliquez les mêmes conseils de prudence que le reste de la population.
A ce jour, il n’existe pas de traitement spécifique contre ce virus. Certains médicaments sont actuellement testés en milieu hospitalier mais il est trop tôt pour en tirer des conclusions formelles.
Cela sera déterminé par votre équipe soignante, en fonction des symptômes que vous présentez.
En début de crise, tous les examens et les traitements non urgents ont été reportés à une date ultérieure. Les traitements reprennent peu à peu.
Si vous êtes en cours de traitement pour le moment, il sera poursuivi sauf avis contraire de l’équipe médicale qui vous suit.
Donc, sauf avis contraire du médecin qui vous suit, vous devez vous rendre à vos rendez-vous. La décision éventuelle de reporter un traitement du cancer sera prise au cas par cas par votre équipe soignante.
Les symptômes causés par le COVID-19 sont identiques à ceux des autres personnes. Si vous êtes en traitement pour un cancer et que vous êtes atteints de toux ou de fièvre, consultez votre équipe soignante. Si vous avez des doutes, consultez le site suivant (https://www.info-coronavirus.be/fr/)
Si votre médecin est atteint du COVID-19, il vous orientera vers un autre médecin.
Vous devez être suivi avec attention compte tenu de ce risque cardiaque. Votre équipe soignante en est consciente et fera le nécessaire.
A ce jour, il n’y a toujours pas de traitement spécifique face au coronavirus. Malgré les nombreuses recherches en cours, il est très peu probable qu’un traitement spécifique soit disponible avant la fin spontanée de l’épidémie en cours. Il faut attendre que les défenses du corps éliminent spontanément le virus et Les traitements consistent à soulager les symptômes de l’affection (comme la fièvre ou les difficultés à respirer) s’ils sont présents et en fonction de leur intensité. Si vous êtes en cours de traitement pour un cancer et si ce traitement diminue vos défenses immunitaires, il se peut que les traitements suivants soient retardés. C’est votre équipe soignante qui adaptera le rythme ou les doses de traitement si nécessaire. Ne modifiez pas de votre propre initiative votre traitement.
Vous faites partie du groupe à risque. Vous pourriez être simplement infecté sans développer la maladie, être atteint de symptômes légers ou d’une forme plus virulente de l’infection. Mais il est clair que le risque de développer des complications est plus élevé chez vous. Dès lors, il vous est recommandé d’ appliquer toutes les mesures de prudence à la lettre.
La question se posait au début de l’épidémie. Mais les mesures drastiques qui ont été mises en place par le Conseil Nationale de Sécurité ont permis d’éviter cette situation critique., Actuellement la tendance montre que cela n’est plus à craindre.
Pas à court terme.
Impossible à prévoir. Vous pourriez être simplement infecté sans développer la maladie, être atteint de symptômes légers ou d’une forme plus virulente de l’infection. C’est pour éviter ce dernier risque que l’on vous conseillera des mesures strictes de précaution, à vous comme à votre entourage.
L’hormonothérapie n’a pas d’impact négatif sur vos défenses immunitaires. Vous n’êtes donc pas particulièrement fragilisée par rapport au coronavirus. Vous ne devez donc pas prendre de mesures supplémentaires à celles qui valent pour tout un chacun : le respect des mesures de sécurité, en particulier le port du masque.
Non, si vous êtes en rémission sans séquelles et avec une immunité normale, vous n’avez pas de risque augmenté.
Il y a un risque supérieur d’infection si votre enfant reçoit un traitement qui diminue les défenses immunitaires. Ceci étant, la maladie est moins virulente chez les enfants.
Il convient de demander l’avis de votre équipe soignante par rapport à la poursuite d’un confinement. Quoiqu’il en soit respectez soigneusement les consignes de sécurité, notamment l’usage du masque à l’extérieur si son âge le lui permet, procédez à un lavage régulier et très soigneux des mains, et prévenez l’équipe soignante si votre enfant présente des signes d’infection (toux, fièvre…).
Le port du masque est devenu indispensable pour toute sortie dans un lieu public. pour réduire les risques de contamination. Comme il protège principalement les autres, il est important de respecter les autres mesures barrière comme la distanciation physique. Si les défenses immunitaires de votre enfant sont fortement diminuées par le traitement, l’équipe soignante vous conseillera des mesures particulières de précaution, en ce compris un confinement plus strict.
Il n’y a pas à notre connaissance de risque particulier de pénurie de médicaments à court terme.
En principe, à l’exception des patients atteints du covid-19, toutes les visites peuvent reprendre avec des modalités propres à chaque hôpital. Celles-ci seront à discuter avec l’équipe soignante, en fonction de l’âge des enfants et du degré de parenté
Toutes les mesures de précaution sont bien entendu appliquées pour réduire le risque de contamination en milieu hospitalier. Il y a de moins en moins de patients infectés et hospitalisés, et les unités Covid sont bien séparées des autres unités dans les hopitaux.
Le déconfinement se dessine petit à petit et les activités reprennent progressivement. Les informations précises pour les écoles sont à suivre sur le site https://www.info-coronavirus.be/fr/. Mais pour les enfants à risque, l’interruption des contacts physiques peut fait partie des mesures de prévention. Seule l’équipe soignante qui connaît votre enfant pourra vous conseiller utilement.
Appliquez strictement les conseils de prévention.
Vous êtes (ou devriez être) en quarantaine et avoir le moins de contact possible avec des tiers. Parlez-en avec votre médecin de famille.
Si cette personne est hospitalisée, à l’exception des patients atteints du covid-19, toutes les visites peuvent reprendre avec des modalités propres à chaque hôpital et selon l’état de la personne. Pour une visite au domicile, vous pouvez consulter le site de référence https://www.info-coronavirus.be/fr/ . Si la personne est dans une phase plus critique, il sera préférable d’éviter les visites et de vous manifester autrement, par téléphone, mail, réseaux sociaux quand cela est possible….. Si malgré tout une visite s’impose, il faudra impérativement porter le masque et garder les distances de sécurité.
Le problème ne se pose pas actuellement ; le vaccin n’a pas encore été développé et l’épidémie en cours évolue favorablement.
Suite aux directives gouvernementales concernant l’épidémie de Coronavirus, la suspension des actes médicaux non justifiés cliniquement a débuté ce vendredi 13 mars. Par conséquent, les différentes régions ont pris les mesures nécessaires concernant les programmes de dépistage organisé des cancers. Actuellement l’activité des centres reprend et l’objectif est de rattraper le retard dans les invitations à participer ainsi que dans les examens à réaliser.
Nous avons également envoyé les kits de dépistage du cancer colorectal aux personnes qui auraient dû l’obtenir depuis mars. Notre laboratoire refonctionne à plein régime depuis le 18 mai.
Les invitations « sein » et « colorectal » seront à nouveau envoyées à partir de la deuxième semaine de juin, en envoyant d’abord mars et avril, (ensuite mai+juin, juillet+août) pour rattraper progressivement le rythme mensuel habituel dès septembre.
Les invitations à détecter le cancer du sein seront à nouveau envoyées à partir de la deuxième semaine de juin. , avec un effet de rattrapage pour celles qui auraient dues être envoyées pendant les mois de confinement.
Les centres de radiologie ont recommencé leurs activités, selon leurs propres modalités et dans le respect des mesures en vigueur.
Le centre de deuxième lecture des mammographies a relancé son activité depuis le 18 mai.
Les invitations à effectuer un test de dépistage seront à nouveau envoyées à partir de la deuxième semaine de juin.
Les kits de dépistage du cancer colorectal ont été envoyées aux personnes qui auraient dû l’obtenir depuis mars. Le laboratoire d’analyse des tests a repris son fonctionnement depuis le 18 mai.
Les invitations à détecter le cancer du sein ont continué à être envoyées. Les centres de radiologie ont repris leurs activités depuis le 18 mai, dans le respect des mesures en vigueur. Le centre de deuxième lecture des mammographies a relancé son activité depuis le 18 mai.
L’envoi des invitations à participer au programme de dépistage reprendra dans le courant du mois de juin avec un effet de rattrapage pour celles qui auraient dues être envoyées pendant les mois de confinement
Le laboratoire d’analyse des tests a repris son fonctionnement depuis le 18 mai.
Plus d’informations sur les mesures prises par la Flandre ici.
Comment limiter le risque de contamination lorsqu’on est une personne à haut risque ?
A la maison :
Si vous recevez de la visite :
Si vous sortez de chez vous :
Port du masque : mode d’emploi
Si vous êtes en cours de traitement pour un cancer, demandez à votre équipe soignante quel type de masque vous est recommandé.
Quel que soit le type de masque dont vous disposez (FFP2, chirurgical, en tissu avec ou sans filtre) voici comme bien l’utiliser.
Prenez soin de vous…et des autres !