La question a souvent été posée. Aujourd’hui, la réponse est claire et rassurante. Selon la plus vaste étude menée à ce jour sur le sujet, publiée dans le prestigieux Journal of the Amercian Medical Association (JAMA), les traitements utilisés pour la stimulation ovarienne nécessaire à la fécondation in vitro (FIV) n’induisent pas de risque plus élevé de cancer du sein.
La fécondation in vitro nécessite l’augmentation temporaire du taux de certaines hormones sexuelles (œstrogènes et progestérone). Le problème est que ces hormones peuvent favoriser le développement de certaines tumeurs du sein. Heureusement, l’étude en question a conclu que leur administration dans le cadre de traitements de FIV n’accroît pas le risque de cancer du sein. Voilà qui rassurera les femmes concernées.
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